Enfin l’avenue Jean Jaurès :
Inscrite au budget d’investissement depuis 2006 pour les études et 2008 pour les travaux, l’avenue Jean Jaurès qui devient chaque jour de plus en plus dangereuse, compte tenu de son état, va enfin être mise en travaux. Prévue, sous le mandat de Gérard Letailleur Maire et approuvée dans le (PLU) Plan Local d’Urbanisme en 2004 par la majorité de l’époque, combattue par l’opposition de l’époque, celle-ci aujourd’hui confirme la justesse de cette décision en approuvant sa réalisation. Bien sûr beaucoup de temps perdu pour mettre en œuvre cette restructuration, notamment devant la sortie de groupe scolaire Maupassant. Cela est dû, nous le savons aux dérapages des dépenses de fonctionnement de la ville conduisant même à son déficit en 2009.
A l’élaboration du budget 2010, (voir notre déclaration sur ce blog) que les travaux ne seront pas pour l’essentiel faits en 2010, cela se confirme. Les 1 200 000 euros inscrits au budget seront pour l’essentiel payés en 2011. Au moins cette fois ils ne pourront plus être reportés au-delà !
Une gestion dangereuse et inconsciente des dangers.
Pendant des mois vous avez étés nombreux à signaler les risques d’accidents graves rue Pierre d’état avec une chaussée complètement déformée, qui n’a fait l’objet, de plus, d’aucune signalisation préventive. La force des vos contestations a obligé la ville à engager des reprises ponctuelles et coûteuses. Faute d’avoir engagé dès le mois de Mars les travaux définitifs nécessaires pourtant prévus au budget, l’addition est alourdie par cette inertie dans la gestion.
Une gestion calamiteuse des voiries depuis 3 ans, explique l’état lamentable d’une grande partie de nos voiries.
Le budget d’entretien annuel a été divisé par trois. En supprimant l’entretien préventif, sur toutes les fissures afin d’éviter la pénétration de l’eau qui ravine sous l’enrobé et crée ensuite des trous, nous voyons des trous se former et s’aggraver chaque jour. Devant l’urgence d’un risque d’accident il faut les colmater et nous voyons fleurir les plaques de reprises en nombres grandissants, occasionnant de nombreux déplacements ponctuels et coûteux des entreprises. Nous allons payer de plus en cher cette pratique de gestion d’urgence, par l’obligation d’une reprise totale de la voirie comme cela est déjà le cas pour la rue Pierre d’état et Cl Monet.
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